Rue de la Loi

Je suis l'invité cette semaine du magazine webtélé Rue de la Loi de Fabrice Grosfilley (RTL TVI). On y parle de la Wallonie, du PASS, de Rudy Aernoudt, de la crise financière...

Accès direct à la vidéo

Comments

[Rédigé par : ggg]

Un autre (ex-)politicien libéral francophone qui aborde plus sérieusement la crise (vidéo) :

http://www.lefigaro.fr/le-talk/2008/10/21/01021-20081021ARTFIG00562-alain-madelin-la-france-est-sous-perfusion-.php

[Rédigé par : Alain Destexhe]

Pour une fois je suis d'accord avec Pierre Yves :) J'ai dit Dexia au lieu de Ethias,. Merci Pierre Yves.

[Rédigé par : Cervantes]

@ Lombard: bien vu, la politique est un métier à hauts risques et sinueux.
Hors quelques-uns de ses pratiquants, le sens de l'intégrité risque d'y être écorné. Des exemples nous viendront vite à l'esprit.

@ Fred / P-Y vous allez bien en alternance - pour un temps - avant la relève par un cousin Ici...
Note sur votre ""j'ai déjà démontré que le début du mal wallon remonte à "":

Mes profs ont toujours dit que persiffler n'est pas démontrer. Retournez donc sur les bancs, sinon passez par le confessional d'avant VaticanII ?

Le *mal wallon* comme le *mal belge* autant que le *mal universel* résident dans 1/3 de nos populations qui désignent des représentants à leur image: prompts à la corruption et pas avares de mensonges.
Prenez ensuite P-Y la posture outrée qui vous est si coutumière, il en est ainsi depuis la nuit des temps. Seuls les macarons changent d'appellation incontrôlable.

[Rédigé par : benika]

@ Lombard : Bah ! Si vous ne savez pas ce qu'est un jour de grève, vous devez être adepte des congés maladie !
CALIMERO

[Rédigé par : Lombard]

Oui, P-Y, je suis pensionné, après une longue carrière. Je ne sais pas ce qu'est un jour de grève, en 65 je travaillais chez mon père, puis dans l'Horeca et pour finir dans un métier de la fonction publique à hauts risques...c'est le seul où j'ai du prendre une carte du PS pour y rentrer ! Et maintenant je déteste le PS encore plus que les autres, parce que je suis carolo... et pas fier de l'être !

[Rédigé par : Vincent]

"mais comme vous je travaille"

Rassurez-nous, dans une administration j' espère?

[Rédigé par : PierrYves]

Lombard, me voici mais comme vous je travaille, donc pas le temps d'être en permanence sur ce blog, vous me pardonnerez.
Mon commentaire: je ricane en pensant aux mandataires publics MR que dénonce le sénateur en fin d'interview (quand il confond, je pense, ethias et dexia): daniel bacquelaine, veronique cornet,... Que du beau monde.
Sinon, j'ai déjà démontré que le début du mal wallon remonte à une époque PRL/PSC où rien n'a été fait pour endiguer la montée du chômage. Depuis, on gère cet héritage bien libéral...
Bonne soirée!

[Rédigé par : Lombard]

Je vois 4 commentaires, et il n'y en a que 3 qui apparaissent ? P-Y aurait-il encore été circoncis ? Va plus rien lui rester, il n'a déjà plus que le PS qui dégouline...

[Rédigé par : Fred]

Vous dites que 38% de la population wallonne travaille dans le secteur public. Selon vous quel serait le % acceptable ?

Vous avez écrit un livre avec Rudy ce qui représente une certaine convergence de vue. Est-il possible qu'il soit une alternative au PS ?

Vous parlez de l'état socialiste qui domine la vie politique de la wallonie depuis 20 ans. Souvenez-vous que lors du premier gouvernement Verhofstadt l'allégresse était immense d'avoir délogé l'Etat CVP
qui dominait l'état depuis 40 ans. Et pourtant les libéraux gouvernent avec les catholiques.Comment expliquez-vous celà ?

Ne pensez-vous pas qu'au lieu de travailler plus tard (donc plus âgé) il vaut mieux travailler plus tôt?

[Rédigé par : A. de Tocqueville]

Dénoncer la gabegie du PASS, c'est populaire, le supprimer, c'est une erreur de communication. Tous les petits Wallons sont allés au moins une fois dans ce ravissant charbonnage désaffecté.

[Rédigé par : Lombard]

Attention Sénateur, si l'on vous pose la question des " parachutes dorés", ce sont nos politiques ( tous les partis bien évidemment ) qui ont également promulgué une Loi pratiquement équivalente à celle de Debré en France d'octroyer " X " indemnités lorsqu'un politicien n'est plus réélu !
Que doivent penser les gens de la rue ?

Les parlementaires non réélus auront droit à une indemnité de sortie
BRUXELLES 45 députés et 25 sénateurs. C'est le nombre d'élus actuels que Chambre et Sénat pensent voir les quitter après le 18 mai. Soit parce qu'ils ne se présentent plus. Soit parce qu'ils ne seront pas réélus.
Ils auront donc, pour la plupart, droit à une indemnité de départ, aussi appelée indemnité de sortie.
Elle pourra leur être versée une seule fois, à leur demande, pour autant qu'ils n'aient pas retrouvé de poste rémunéré. Elle se justifie par le fait qu'ils n'ont pas accès au chômage.
Une année de mandat donne droit à 2 mois d'indemnité, qui équivaut au traitement brut d'un parlementaire. Entièrement imposable, la somme perçue ne peut être inférieure à douze mois (sauf si le mandat a duré moins d'un an), ni supérieure à 48 mois.
Pour le calcul du nombre d'années de mandats, on tient aussi compte de ceux prestés dans les autres parlements, y compris au niveau européen.
Cela risque donc fort de représenter un joli pactole à débourser. À la Chambre, on a d'ailleurs pris les devants. Dans un récent document parlementaire, le président De Croo (VLD) explique qu'une somme de 4,69 millions d'euros a été budgétée pour 2003.
Cela représente tout de même une hausse de 278% (soit 3,5 millions) par rapport à l'année précédente. Les plus grosses indemnités seront à payer jusqu'au premier semestre 2006.
À cela s'ajoute la nécessité de payer les préavis des collaborateurs administratifs. La Chambre évalue cette fois la facture à 600.000 euros.
Au Sénat, on a été aussi prévoyant: une cagnotte a été constituée progressivement chaque année, pour amortir le choc. Mais impossible d'en connaître le montant.
© La Dernière Heure 2003

[Rédigé par : Jean-Philippe]

Félicitations. C'est un excellent résumé de la situation. Cela fera sans doute grincer des dents à certains, mais vous avez l'honnêteté de vos positions et la franchise de les assumer.