A lire dans Trends de cette semaine "Etude wallonne accablante sur le chômage : les Flamands ont raison de mettre la pression"....
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Pulcinella DiRupo vient d'annoncer son remaniement RW et CF, tous médias belges en bavaient.
Qu'en penser ou espérer?
+ L'apparition de R.Demotte à la tête de la région fait sens. Ouf, on craignait le pire. Voici un gars qui saura enfin parler sans trop de faux-fuyants et jouit certainement du respect de ses pairs côté flamands.
+ en typant les têtes et la redistribution des fonctions, Pulcinella garde la tête hennuyère sur le meccano global.
+ Liège y gagne un jeune Tarabella afin de tailler des croupières [à qui?] en vallée d'Ourthe.
+ Pulcinella maintient sa belle aMArena à la tête de la CF [la ficelle est assez grosse]). Il la dépouille opportunément du domaine [formation] où elle fit la révélation de sa parfaite incompétence. Les enseignants pas trop rougeaux devraient s'en trouver ravis.
+ avec sa compétence élargie aux matières sportives, notre Daerden l'écluseur va pouvoir accentuer sa popularité aux multiples comptoirs de nos clubs sportifs. Intéressante stratégie en perspective d'une redistribution [toute académique] des subsides RW et CF dont il joint les deux ficelles.
Sinon, la continuité la plus parfaite est de mise pour ne pas perdre davantage de temps dans l'accomplissement des objectifs du Marshall Puchinella. Qu'en dire?
Rédigé par : Observateur attentif | 19 juillet 2007 à 20:47
@ Eric
Ce qui est (notamment) gravissime en Wallonie, c'est que pour des raisons purement dogmatiques, l'on ne s'y emploiera jamais à appliquer les recettes qui ont fait leurs preuves ailleurs.
Comment l'Irlande s'en est-elle sortie : réduction drastique de la fonction publique, baisse des impôts sur les sociétés afin d'attirer les investisseurs (mais aussi baisse des impôts sur les revenus), modernisations de secteurs clés dont l'enseignement, etc.
Des recettes qui sont évidemment parfois amères pour la gauche mais qui ont permis de sortir une bonne part de la population irlandaise de la pauvreté (et même de l'amener à une certaine prospérité. Ah, mais, j'oubliais : la prospérité, ce n'est pas le fond de commerce de la gauche).
Il y a des gens qui sont restés sur le bord de la route ?
Sans doute. Mais est-ce tellement différents des 30 à 35% de chômeurs (auxquels il faut ajouter les minimexés, les petits pensionnés, etc) que la région wallonne laisse croupir dans leur situation dans les deux plus grandes villes de la région ?
Tous les pauvres ne sont pas égaux selon la gauche. Il vaut mieux un système "solidaire, éthique et citoyen" qui amène tout le monde à la pauvreté, qu'un système qui, certes, ne permet pas toujours à tout le monde de s'en tirer, mais laisse quand même un peu d'espoir aux gens courageux et volontaires d'influer sur leur sort. Les pauvres laissés pour compte par le libéralisme sont moins supportables que les pauvres engendrés par le socialisme, donc.
Rédigé par : L'abbé Carrécé | 11 juillet 2007 à 13:52
Si les mentalités sont le reflet de l'histoire, nous sommes perdus.
Les mentalités sont aussi le résultat de nos rêves, et de nos ambitions.
Je suis d'accord avec vous, Eric, pour dire que les francophones doivent se prendre en mains, arrêter d'envier les autres, et ne pas s'en référer à la seule France comme modèle.
L'histoire permet de comprendre beaucoup de choses. Mais elle n'est pas un indicateur fiable pour ce que peut être l'avenir.
Heureusement, d'ailleurs.
Rédigé par : paul | 11 juillet 2007 à 13:37
Les flamands fêtent leur Communauté, à Bruxelles ce 11 juillet.
Avec ou sans nationalisme ils ont appris à s'émanciper. Notamment par une forte modernisation économique et un enseignement resté assez rigoureux, le tout engendrant un niveau de vie moyen qui met pour l'instant leur SP-A un rien à mal ...
Les wallons fêtent la leur le 27 septembre. Remarquons que hors la fiesta namuroise et son populisme ludique avec musiques exotiques et beuveries assorties, ça n'a toujours pas servi de ciment entre Wallonie et Bruxelles.
Chacun pour soi, avec par dessus un empereur pour tous?
Parmi les laborieux pourparlers entre formations politiques, observons certaines voix flamandes plus réalistes? Elles viennent notamment du patron de l'UNIZO (= UCM flamande) parlant du marché du travail contrasté Nord-Sud: "Il ne sert à rien de vouloir trouver des médicaments identiques pour des maladies différentes". Ça fait sens, même et surtout en dehors du monde médical. L'organisation patronale flamande Voka semble elle aussi mettre une sourdine à des positions antérieures, pour espérer un déblocage des problèmes. En gardant la sécurité sociale au niveau fédéral (!), tout en responsabilisant les régions sur leurs problèmes d'emploi respectifs et la qualité de la main-d'oeuvre. Bravo, eux ne doivent pas se contenter de subir l'arena-circus.
Devinons cependant d'où viendront encore et toujours le NIET borné?
Du monde syndical bien sûr. Trop pressés de garder les troupes enrégimentées.
On a assez parlé des situations et des remèdes, il ne reste maintenant qu'à administrer les potions magiques, autres que celles de couleur rouge sang (je laisse ça aux gourmets du boudin noir).
Rédigé par : Gaston la goffe | 11 juillet 2007 à 11:34
La passé n'excuse pas le, présent vous avez raison mais il permet de le comprendre.
Au moment où l'industrie wallone déclinait une industrie plus moderne apparaissait en Flandre, les mentalités sont différentes sans doute mais il y a des raisons historiques à cela, nos mentalités sont le reflet de notre histoire personelle et collective...
Rédigé par : eric | 11 juillet 2007 à 10:32
@Eric
"La Wallonie a vécu la fin des charbonnages et de la sidérurgie"
Eh, oh. Arrêtez avec ça. L'excuse était (possiblement) bonne il y a 50 ans. Elle ne l'est plus aujourd'hui. Il y a d'autres régions du monde qui étaient dans des situations bien pires et qui se sont redressées spectaculairement en moins de 30 ans. L'Irlande, par exemple, région parmi les plus pauvres d'Europe à la fin des années 60. Et qui truste le haut des statistiques pour le PIB, le faible taux de chômage, le nombre d'entreprises créées, etc. aujourd'hui.
La Catalogne, aussi. Et le Yorkshire, le Devonshire.
Rappelons qu'à la fin des années 50, la Wallonie était classée 5ème région la plus riche du monde.
Rédigé par : L'abbé Carrécé | 11 juillet 2007 à 09:34
"pour prendre sa destinée en main, il faut des vrais leaders aux commandes"
en effet !!! la Wallonie a besoin d'un projet d'avenir et d'un leader ce qui est impossible tant que la Belgique existera.
Les Wallons ne peuvent ni choisir le chef de l'Etat (le roi occupe ce poste par le privilège de la naissance) ni le premier ministre (une loi tacite impose qu'il soit flamand).
Non seulement le système actuel est boiteux et à peu près impossible à réformer mais en plus il fait de nous des assistés et des sous-citoyens !
Si monsieur Sarkozy était né en Belgique il lui aurait été impossible (et ce quel que soit le nombre d'électeurs ayant voté pour lui) de devenir chef de l'Etat ou premier ministre!
Continuez à regarder Sarkozy à la télé parceque le système électoral belge nous interdira toujours d'en avoir un équivalent chez nous!
La Belgique ne peut produire que des Daerden et des coallitions gouvernementales foireuses (celle qui se prépare risque bien d'ailleurs de battre tous les records du genre)
Rédigé par : eric | 11 juillet 2007 à 00:37
'C'est d'ailleurs une des raison qui doivent nous pousser à nous détacher de la Flandre et à cesser d'être des assistés!' (Eric)
Enfin, voici clairement révélé le séparatiste qui ne voulait se dévoiler, sinon un partisan de la fuite en avant? Seul problème: pour prendre sa destinée en main, il faut des vrais leaders aux commandes. Sur lesquels allons-nous donc compter demain? Cherchons bien:
Un PS encore accro à un électorat abêti ou d'assistés, bien sûr un MRW croupion, avec un CdH 'à la Milquet' qui ne sait vers où aller sans son CD&V ou son PS préféré. Plus un MR enfin reconnu par un grand nombre de wallons, mais tentant de réformer face aux entraves et résistances larvées de la part des esprits du MOC, rougeaux FGTB, anarcho-PTB et quelques affiliés exotiques?
Vive donc le ratta. Car grâce à la France nouvelle (ça changera du Beaujolais) là où le président Sarkozy secoue enfin son profond besoin de réforme, notre Wallonie qui en souffre tout autant, verra la vie du nouveau couple s'opérer de façon plus harmonieuse et radieuse.
Superbe vision que la vôtre, cher Eric.
Rédigé par : Joëlle Beyroute | 10 juillet 2007 à 23:13
le travail au noir serait normal et le travail déclaré une sorte de racket organisé par l'Etat... c'est une façon de voir les choses biensur!
>l'abbé
je suis d'accord avec vous,
la mentalité est sans doute une des raisons qui explique le dynamisme de la Flandre : dynamisme des chômeurs , dynamisme des travailleurs, dynamisme des responsables politiques mais aussi (et on oublie souvent d'en parler sur ce blog) le dynamisme des chefs d'entreprise car si beaucoups d'entreprises wallones vivotent c'est souvent parcequ'elle sont mal gérées!
Ceci dit réduire le problème à une queston de mentalités c'est carricatural, il est plus facile de développer une entreprise dans une région où les habitants ont un niveau de vie plus élevé.
La Wallonie a vécu la fin des charbonnages et de la sidérurgie, l'incompétence des autorités (et sans doute la mentalité) a fait le reste en entrainant la région dans un cercle vicieux dont il est devenu bien difficile de sortir.
C'est d'ailleurs une des raison qui doivent nous pousser à nous détacher de la Flandre et à cesser d'être des assistés!
Rédigé par : eric | 10 juillet 2007 à 19:57
@ Eric
Vous vous êtes tiré dans le pied parce qu'en soulignant que, dans un contexte légal qui est identique, la raison pour laquelle les entreprises flamandes obtiennent plus de contrats est sans doute liée essentiellement à un problème de MENTALITE ?
Rédigé par : L'Abbé Résina | 10 juillet 2007 à 17:27
Comment lutter contre ce fléau?
Je ne le considère pas tant comme un fléau que comme la manfestation d'un accord entre producteurs et consommateurs pour ne pas payer quelque chose qui, pour eux, n'en vaut pas la peine.
Je ne suis pas d'accord pour dire que le travail au noir tue l'emploi. C'est la fiscalité et la para-fiscalité qui le tuent.
J'ai parlé des titres services. Je pourrais encore parler de la TVA dans la construction qui, quand elle a été ramenée de 21 à 6% pour les immeubles de plus de 5 ans a ramené énormément de travaux dans le circuit légal.
Je ne vois pas de meilleures démonstrations de l'échec de notre système fiscal, comme dit précédemment.
Rédigé par : paul | 10 juillet 2007 à 16:14
@ Eric
""Pourquoi une bonne parties des sociétés effectuants des travaux de rénovation dans les villes wallones viennent elles de Leuven ou d'Antwerpen""
1) parce que les passations de marchés publics sont une procédure OUVERTE à tous
(obligation dans U.E., enfin en principe)
2) parce que les entrepreneurs FLAMANDS disposent généralement d'une M-O courageuse et compétente pour les travaux auxquels ils soumissionnent. M^me lorsque les tâches sont dures et rebutantes! Et leurs ouvriers acceptent plus volontiers de longs trajets et des heures sup lorsque le chantier l'impose!
3) parce que les entrepreneurs francophones ont la plus grande peine à embaucher des salariés VALABLES et d'esprit corvéable (avec €€€).
ça vous étonnerait? Entre ce que "les gens se disent capables de faire" à l'embauche ...et la validation d'expérience sur le terrain, il y a souvent un GOUFFRE (en manques et déceptions).
Le taux et l'esprit de syndicalisation présent dans la M-O en question y est préjudiciable à l'entente et à l'esprit volontariste pour faire gagner le "schmilbick". Profonde différence culturelle!!!
Voyez ici (C.F.) l'esprit d'adversité qui règne à l'égard de l'entreprise. Un "acquis" des mentalités rétrogrades FGTB et P.S. depuis 40 ans! SI vous aviez connu 1960-61, vous en sauriez probablement plus.
Je pourrais vous en parler en long, mais n'ai pas le temps d'en dire une foutitude d'exemples via blogs.
Donc, comme d'autres intervenants ont fait remarquer auparavant: ayez SVP l'esprit critique v-à-v des gens que vous côtoyez, pas seulement les prendre pour du pain béni. Je crois que c'est devenu hautement nécessaire lorsqu'on observe la somme de "manquements" dans notre "force du travail" et les manipulateurs en arrière-plan.
J'espère ainsi avoir répondu (vite, un peu) à une partie de vos interrogations.
Rédigé par : Simon | 10 juillet 2007 à 15:51
"En ce qui me concerne, la part des uns et des autres importe peu"
Le travail au noir est une des plaies de notre société, comment lutter contre ce fléau si on ne sait même pas où il sévit ?
Pour les libéraux l'économie souterraine c'est d'abord les chômeurs professionels alors que pour le PS c'est avant tout la 'criminalité en col blanc' mais en fait aucun de ces deux partis ne se soucie réellement de la situation, l'argent noir c'est avant tout un épouvantail électoral qu'on présente différement suivant la clientèle qu'on veut séduire mais la droite comme la gauche se gardent bien de lutter contre ce mal qui touche de trop prêt leurs électorats respectifs!
Rédigé par : eric | 10 juillet 2007 à 15:40
En ce qui me concerne, la part des uns et des autres importe peu.
Ce qui est important, c'est que le consommateur (parce qu'il est au moins autant responsable de cette situation que celui qui offre ses services) préfère payer moins pour ceux-ci, quitte à se passer des garanties offertes par le sytème légal.
Ce qui est un grave constat d'échec pour celui-ci, et en particulier pour les législations sociales et fiscales.
Et dans le fond, le consommateur a en ceci une attitude rationnelle: il est absurde de payer un service plus cher que ce que l'on estime qu'il vaut.
Le système des titres services est une reconnaissance implicite de cet échec, dans le domaine des tâches ménagères.
Simplement, pour l'instant l'état refuse de voir que ce raisonnement s'applique égalements à d'autres secteurs.
Rédigé par : paul | 10 juillet 2007 à 14:27
>l'abbé
Pourquoi me serais je tiré dans le pied ?
>blanche-neige
J'avoue mon ignorance en ce qui concerne les procédures et les pratiques touchant aux marchés publics c'est pourquoi je me contentais de parler de ce que je connais : les petits indépendants, les chômeurs , les salariés, c'est à dire l'immense majorité de nos concitoyens.
Je ne pleure pas, j'ai une vie plutot agréable et ce sans avoir eu besoin ni d'allocations sociales , ni d'un logement social, ni d'aucun appui politique ou syndical, j'ai donc une opinion qui sans être plus valable qu'une autre a au moins le mérite de ne pas être intéressée (la couleur de la future coallition ne va pas changer beaucoup ma vie personelle).
Je remarque simplement qu'à chaque question posée on me réplique par des colibets, rarement par des arguments et jamais par des chiffres!
Pourquoi une bonne parties des sociétés effectuants des travaux de rénovation dans les villes wallones viennent elles de Leuven ou d'Antwerpen (les entrepreneurs flamands étant pourtant imposés de la même façon que leurs collègues wallons) ? ... pas de réponse !
Dans l'énorme somme d'argent qui échappe au fisc chaque année , quelle est la part due au travail au black des chômeurs ... et celle due aux manipulations de certaines sociétés,banques ou simples indépendants indélicats ?
... pas de réponse !
Je pensais pouvoir trouver ce genre de réponses ici...
Rédigé par : eric | 10 juillet 2007 à 14:07
à ERIC l'éternel rousquailleur (et ceci, et cela) avec son dernier message tel
{si les malheurs des pauvres entrepreneurs wallons n'étaient pas dus uniquement au politiciens, au PS, aux chômeurs, aux fonctionaires,..}
Vous êtes drôlement ambigu, Monsieur Eric.
Bien que femme, il m'arriva d'entendre un honnête entrepreneur invoquer la procédure dite du "MOINS DISANT". Connaissez-vous au moins la chose, Monsieur qui pleure? Vous êtes-vous posé la question des fondements, des us et coutumes politiques et fonctionnaristes (au MET, dans nos communes et intercommunales, jusqu'à même le niveau Union Européenne). De lire alors des abus ou malversations qui se cachent sans cesse derrière cette procédure hautement caractéristique de nos "MARCHES PUBLICS".
Vous savez, ceux où on mettrait les scrupuleux Daerden&Co face à une saine concurrence venant d'autres firmes sérieuses d'audit. Pourquoi? pour gratter vraiment dans les comptes et les procédures des pléthoriques organes de gestion de la Cité, de la Région, de l'Etat, de l'Europe.
{Moins disant (?)}... couplé à des critères de sélection largement manipulés finit avec le temps par entraîner des abus en tous sens, depuis l'instant de la décision ...jusqu'après la l'exécution du marché! Voir à cet égard l'état moyen de nos routes, nos bâtiments publics, nos services d'hygiène public,etc. etc.
Voyez Monsieur Eric, qu'une femme ça sait porter ses yeux sans concession sur des matières qui ne concerneraient que des hommes sérieux, à la conduite évidemment au-delà de tous soupçons. Moi je ne geint pas, j'examine et s'il le faut j'agis vers un mieux-être ou un mieux faire.
Rédigé par : Blanche-Neige | 10 juillet 2007 à 11:43
@ Eric
"Si les entrepreneurs se demandaient par exemple pourquoi de plus en plus de gens font appel à des sociétés flamandes dans le domaine de la construction par exemple ?"
Je crois bien que vous venez de vous tirer dans le pied.
Rédigé par : L'Abbé Résina | 10 juillet 2007 à 10:21
>Robin Dusoir
Certes...Certes...
Et si les malheurs des pauvres entrepreneurs wallons n'étaient pas dus uniquement au politiciens, au PS, aux chômeurs, aux fonctionaires, aux délégués syndicaux,etc...
Si les entrepreneurs wallons s'interrogeaient sur leur propres (in)compétences ?
Si les entrepreneurs se demandaient par exemple pourquoi de plus en plus de gens font appel à des sociétés flamandes dans le domaine de la construction par exemple ?
Rédigé par : eric | 10 juillet 2007 à 00:21
"MR. Quel petit parti". (Rédigé par: Daniel )
Au moins avec VOUS -Daniel- et votre GRAND Parti adverse,
il y a de la réflexion profonde à se tenir. Car si la situation belgo-wallonne est tombée là où elle se situe aujourd'hui, faudrait clairement identifier ses meneurs des décennies antérieures.
J'attends donc avec impatience votre verbiage façon Giovanni, Sylvie et de nos rouges camarades déstabilisés afin de nous décrire QUI et d'OU furent ces braves fabricants de la machine socio-économique qui tourne de manière si cahotante?
Prenez votre temps, réfléchissez d'abord avant d'écrire!
Rédigé par : Pasdaniel | 09 juillet 2007 à 23:58
"Parmi les grands esprits de ce forum il doit bien en avoir un..."
ne cherchez plus Eric, mirez vous simplement.
Votre long débat me laisse penser que des gens ont une attitude schizophrène:
1 - fatigue et harcèlement sont vite invoqués au cours de leur "travail salarié"
(parfois de braves camarades syndiqués aideront à s'en justifier devant tribunaux).
PUIS SINGULIEREMENT...
2 - voici qu'un élan de courage leur prend dès qu'ils se trouvent face à leurs gains en noir.
Curieuse la nature humaine.
Au moins, l'indépendant bossera de manière constante, car pour lui toute activité s'opère sous un statut qui dynamise.
Tous les cas voient gonfler leur pouvoir d'achat, ce qui fait circuler l'argent indûment acquis (c-à-d en détaxé). Puis la société et les emplois y gagnent malgré tout.
Seuls les pouvoirs publics doivent alors s'astreindre à des efforts inhabituels pour faire mieux avec moins. Difficile exercice, lorsqu'on passe ces activités sous un audit rigoureux. D'accord ou pas?
Rédigé par : Robin Dusoir | 09 juillet 2007 à 23:44
Je reste persuadé qu'il serait intéressant de faire suivre ce blog au SPF des finances, pas à Didjé mais au personnel en arrêt maladie.....les joueurs de SUDOKU de Sabine Laruelle...etc...
Vous pouvez encore dormir en reconnaissant la fraude comme nécessaire voir obligatoire ??
Le MR n'a pas de moralité, regardons Louis Michel qui a roulé plus de 100.000 personnes sans vergogne.
Quel petit parti.
Rédigé par : Daniel | 09 juillet 2007 à 23:24
>Hikari
Je ne cherche pas à justifier le travail au noir des chômeur , je me demande juste quelle est la part de responsabilité des chômeurs (un chiffre, un pourcentage) dans la perte de revenus subie par l'Etat suite au travail au noir.
J'ai lu (il y a plusieurs années mais je doute que la situation se soit améliorée depuis) que notre pays arrivait juste après l'Italie pour ce qui était de l'importance de l'économie soutterraine , je crois que l'article parlait d'une vingtaine de % des richesses crées échappant au regard du fisc.
Quelqu'un sait il dans cette vingtaine de % quelle est la part détournée par les chômeurs malhonnêtes, celle détournée par les travailleurs indépendants, celle détournée par les rentiers bien conseilés par leur banque,etc...
Parmi les grands esprits de ce forum il doit bien en avoir un qui a ce genre de données non ?
Rédigé par : eric | 09 juillet 2007 à 23:22
@Robin des glandeurs
Il est clair que le salarié qui bosse 8-10h par jour n'a pas l'occasion de faire du noir...
Par contre, croire qu'il n'y a que les "chomeurs glandeurs" qui en font, c'est naïfs et même un peu de mauvaise foi : c'est des situations qu'on rencontre au quotidien...
-les profs et les cours particuliers
-la restauration et la construction en général (le personnel et les revenus)
-les hommes de métier (plombier, chauffagiste, plafonneur, etc..) : un coiffeur par exemple, il déclare "ce qu'il veut" à la fin du mois
-les prépensionnés/chomeurs/arrêt maladie
-etc...
J'estime qu'il y en a beaucoup trop, mais qui oserait dire qu'il n'en a jamais profité ? C'est un système pervers, et j'ai toujours la désagréable impression que c'est le gars qui est le plus honnête qui se fait le plus avoir dans ce pays...
Par contre à l'inverse d'Eric, ça me choque plus qu'un gars qui touche une allocation quelconque fasse du black... Mais ça doit venir de la différence de mentalité..
Un gars qui bosse et qui ne déclare pas tout pour éviter que l'état ne lui vole trop, c'est compréhensible. Par contre le chômeur ou prépensionné qui bosse au noir, alors qu'il devrait trouver un vrai boulot ou se former, ça me semble bcp moins tolérable. (Car oui, Eric, celui qui VEUT bosser, il trouve un travail et il bosse à plus ou moins court terme dans la grande majorité des cas, mais encore faut il le vouloir)
Rédigé par : hikari | 09 juillet 2007 à 21:55
Le seul réconfort que nous procure vos multiples commentaires sera de croire que VOUS au moins ne donnez pas dans ce sordide travail au noir? Sinon vous ne seriez pas tant disponible pour colporter vos noires convictions! :-)
NB: Italie, pays de la débrouille. Quel % d'économie au noir?
Rédigé par : Blanche-neige | 09 juillet 2007 à 18:13
"ce n'est pas ceux qui s'escriment 8 à 10h/j au boulot qui font encore du noir en extras"
justement si !!!
une partie de ces 8-10 est prestée en noir c'est évident!
je serais curieux de connaitre la part d'argent noir provenant des chômeurs et la part d'argent noir provenant des indépendants dans la somme totale qui échappe au fisc chaque année....évidement c'est plus facile de stigmatiser le "vilain parasite social" qui en général ne cherche pourtant qu'à survivre.
on pourrait aussi parler de ceux qui exercent une activité indépendante à titre complémentaire, un statut qui sert souvent à 'encadrer' le travail au noir de certains semi professionnels.
Rédigé par : eric | 09 juillet 2007 à 16:07
Biensur que les indépendants ne sont pas les seuls à faire du noir mais je crois que dans certains corps de métier (ceux qui ont fait construire leur maison savent de quoi je parle) la pratique du "une partie déclaré - une partie au black" est presque devenue la norme (la fiscalité y est sans doute pour quelque chose mais après tout le salarié paie bien des impôts aussi et sans guère de possibilité de frauder!).
Je ne sais pas pourquoi mais je suis moins choqué par un chômeur qui fait quelques boulots au noir pour arrondir ses fins de mois que par l'entrepreneur qui dissimule quelques millier d'euros au fisc chaque mois , sans doute parceque des chômeurs qui arrivent à peine à nourrir leurs gosses j'en connait personellement, les convictions politique ne naissent pas que de la lecture des rapports de l'OCDE...
eric
Rédigé par : eric | 09 juillet 2007 à 15:52
@ Eric
Des fonctionnaires qui travaillent au noir, j'en connais aussi. Quelques enseignants, notamment, qui s'arrondissent leurs fins de mois en donnant des cours particuliers.
Il est vrai que leur activité principale leur laisse du temps libre, n'est-ce pas.
Rédigé par : L'Abbé Résina | 09 juillet 2007 à 15:23
Faits d'expérience à Eric?
Si comme le prescrivent nos bonnes lois, vous disposiez d'un chauffagiste accrédité afin de faire le contrôle environnemental annuel de votre installation, son ramonage, etc... il serait étonnant que le même vous ait balancé pour un dépannage 'trop facile'.
Comme quoi, où reste la logique du consommateur?
et @ Hikari: ce n'est pas ceux qui s'escriment 8 à 10h/j au boulot qui font encore du noir en extras.
Cherchez-les donc chez l'armée de glandeurs inscrits artificiellement au chômage, en maladie-invalidité factice, aux aides sociales diverses et multiples, dont 40% de femmes?
Ce n'est pas parce qu'Eric est persuadé que le monde vit au noir (sauf lui bien sûr) que nous devons nous convaincre de cette anomalie sociétale.
Mais tiens, pourquoi le P.S. et les syndicats se montrent-ils tant rétifs à un contrôle rigoureux des chômeurs??? L'Eric qui se plaint des flamand devrait aussi dire bravo à ceux-là, car l'arnaque du noir y est moins institutionnalisée!
Rédigé par : Robin des glandeurs | 09 juillet 2007 à 14:46
le rapport gain/risque baissera beaucoup...
Rédigé par : hikari | 09 juillet 2007 à 11:35
Tout d'abord, Eric, un conseil : changez de chauffagiste ;-). Chez moi, il est déjà arrivé plusieurs fois que mon chauffagiste passe pour un petit problème sans rien demander. Bref, il ne faut pas généraliser mais dans le cas présent, 70€ me semble aussi excessif.
Par contre, le travail au noir, il ne faut pas se voiler la face... il est clair que c'est très répandu... (mais pas uniquement chez les indépendants : je connais qqun qui depuis qu'il est prépensionné travaille quasi temps plein au noir et se fait probablement bcp plus qu'avant...).
Faut-il excuser le travail au noir, sous prétexte qu'on paye trop à l'état ? Non je ne crois pas... pcq dans l'histoire c'est le gars qui reste honnête qui se fait avoir.
Mais actuellement, le gain lorsqu'on travaille au noir est tellement élevé qu'on comprend bien pourquoi c'est autant répandu.
Si on baisse fortement les prélèvements sur le travail et qu'on sanctionne sévèrement le travail au noir, le rapport risque/gain baissera beaucoup, et les gens reviendront naturellement vers le travail légal.
Rédigé par : hikari | 09 juillet 2007 à 11:33
1) 25% de 70€ pour quelques minutes de travail ça reste bien payé surtout pour un résultat nul! (la "culture du résultat" vous vous souvenez ?)
2) une connaissance qui n'avait pas les même problèmes de paperasserie et de fournisseur m'a réparé cette foutue chaudière pour trois fois moins cher (c'est bizarre comme les gens qui bossent en noir ont plus de facilité à se procurer les pièces que les 'pros').
3) vos 25 à 30% de bénéfice net c'est pour la partie DECLAREE des revenus, l'autre partie est taxée à ... 0% (souvent la première phrase d'un indépendant c'est : 'avec ou sans facture?'), on pourait aussi parler des remises que les indépendants recoivent des fournisseur sur la marchandise et qui ne profitent pas au client qui pourtant paie cette marchandise.
Rédigé par : eric | 09 juillet 2007 à 00:26
1) 25% de 70€ pour quelques minutes de travail ça reste bien payé surtout pour un résultat nul! (la "culture du résultat" vous vous souvenez ?)
2) une connaissance qui n'avait pas les même problèmes de paperasserie et de fournisseur m'a réparé cette foutue chaudière pour trois fois moins cher (c'est bizarre comme les gens qui bossent en noir ont plus de facilité à se procurer les pièces que les 'pros').
3) vos 25 à 30% de bénéfice net c'est pour la partie DECLAREE des revenus, l'autre partie est taxée à ... 0% (souvent la première phrase d'un indépendant c'est : 'avec ou sans facture?'), on pourait aussi parler des remises que les indépendants recoivent des fournisseur sur la marchandise et qui ne profitent pas au client qui pourtant paie cette marchandise.
Rédigé par : eric | 09 juillet 2007 à 00:22
à Eric sans-le-sou: dans l'intervention 15h31, on vous sentait effectivement déprimé.
Maintenant vous voici rentré de vacances et radin pour 70€ de dépannage qui vous sont demandés par un chauffagiste pour un broll techno-antédiluvien?
Sachez que quand ce gars aura rempli sa paperasse, administré son affaire, payé ses propres fournisseurs, payé ses assurances professionnelles et fiscalité... il lui restera 25 à 30% en poche pour faire vivre sa famille.
Soit max. 25€ pour la plantureuse "affaire" que vous lui aviez commandé!
On aime finasser chez les Eric? ça me fait songer à la même disposition mentale qu'un Giovanni qui vous précédait.
Rédigé par : Polichinelle II | 08 juillet 2007 à 18:54
l'indépendant qui fraude le fisc c'est un cliché c'est vrai mais pas plus que le "chômeur professionnel" ou le "fonctionaire éternellement en arrêt maladie" , chaque parti enretient ses propres clichés et en abreuve sa clientèle électorale... triste pays!
(je me demande si je ne couve pas une petite déprime depuis que je suis rentré de vacances)
Rédigé par : eric | 08 juillet 2007 à 17:22
@ Eric
Si l'indépendant dont question n'était pas saigné à blanc pour financer, notamment, les 800.000 fonctionnaires belges travaillant dans des institutions réparties sur six niveaux de pouvoir, les nombreuses associations lucratives sans but para-publiques, etc., le tout pour financer des logements sociaux à Charleroi ou ailleurs ... peut-être serait-il moins tenté de soustraire au fisc une partie des fruits de son labeur ?
Rédigé par : L'abbé Carrécé | 08 juillet 2007 à 16:50
Des indépendant dans la misère ça existe certainement, personellement je n'en ai jamais vu mais je veux bien y croire, ceci dit ma dernière expérience 'vécue' avec un indépendant (c'était un chauffagiste) m'a couté 70€ pour 10 minutes de travail (et moins de 10km de déplacement) tout ça pour apprendre que ce brave homme ne pouvait rien pour moi (des chaudières comme ça , on trouve plus les pièces!)
si ce brave travailleur indépendant "bosse de 8 a 12 heures par jours samedi voir dimanche compris" normalement il ne devrait pas avoir trop de problèmes pour assurer sa pension.
On me dira que dans les 70€ une grande partie est prélevée par le fisc mais qui ignore que dans la construction (et dans bien d'autres secteurs) une partie de la facture est payée en noir ???
Tiens ! justement ça doit être ça un indépendant pauvre : c'est un indépendant qui ne fait pas de black... c'est sans doute pour ça qu'on en voit si peu...
Rédigé par : eric | 08 juillet 2007 à 16:09
De toute façon, l'OCDE répand, c'est notoire, la vulgate néo-libérale.
Rédigé par : Alexis de Tocqueville | 06 juillet 2007 à 14:22
C'est évident.
Mais comme l'emploi public est une manière de déguiser le chômage, et de faire plaisir à la clientèle...
Rédigé par : paul | 06 juillet 2007 à 12:35
Cette fois c'est un rapport de l'OCDE qui le dit...
(Source BELGA -La Libre)
La fonction publique belge est à purger
Le nombre d'emplois dans la fonction publique est trop élevé en Belgique: près de 800.000 personnes y sont actives, soit 17 pc du marché du travail. Les coûts salariaux qui découlent de cette forte proportion sont aussi plus élevés, selon un rapport de l'OCDE dont font état vendredi L'Echo et De Tijd. Cette augmentation du nombre d'employés publics s'est particulièrement fait sentir ces dix dernières années avec 59.000 recrues supplémentaires. Pour l'Organisation de coopération et de développement économiques, cette situation est de nature à miner les finances publiques dans un contexte de vieillissement de la population. Si le rapport salue les efforts entrepris depuis des années au fédéral et en Flandre en matière de réformes, il pointe en revanche le lenteur des réformes en Wallonie, à Bruxelles et en Communauté française. L'organisation constate notamment des "inefficacités systématiques, la faiblesse de la gouvernance ou encore des difficultés majeures à mettre en place un management basé sur les performances". Les problèmes de politisation du management et du recours à du personnel contractuel plutôt qu'aux statutaires sont également mis en exergue. L'OCDE plaide donc pour une diminution des effectifs, en profitant notamment des départs à la retraite. (GFR)
Rédigé par : voisin | 06 juillet 2007 à 10:01
Vaut la peine de lire et méditer:
(interview de J-J. VISEUR par journal Le Pan, 3 juillet) édifiant!
http://www.lepan.be/?p=1577#more-1577
Et les gouvernants du laisser-faire mafieux osent encore promettre "demain la lune" à leur électorat.
Rédigé par : Méditatif | 04 juillet 2007 à 12:21
La Flandre est une chose, voyons ce qui se passe au SUD?
Deux nouvelles méritoires (presse écrite du 3 juillet):
1) Le sénateur de communauté DESTEXHE (Bxl et Wallonie) présidera la Commission des Relations internationales du Parlement de la C.F.
Impression? D'abord, ça permet d'opérer avec un gars qui sait ce qui se passe ailleurs qu'en Wallonie ET ça va (un peu) rééquilibrer le jeu rouge qui ne conçoit les liens au monde que seules valables au son de l'Internationale.
2) Richard MILLER, député wallon montois, l'homme de culture indéniable, va quant à lui re-présider la Commission de l'audio-visuel au Parlement de la même C.F.
Si je ne me trompe, c'est de cette dernière que relève notre chère RTBS! On va enfin pouvoir reparler d'éthique informationnelle et équilibrer les vues de Mme Lanaan, c-à-d celles d'un DiRupo tireur de ficelles?
Rédigé par : Simon | 04 juillet 2007 à 11:50
Cas d'un salarié wallon 32 ans, décidant de se lancer en tant qu'indépendant...
Passant d'un 'net en poche' de 1400€/m et 38h/semaine
à cinq ans de galère avec un régime mêlant les 6 1/2 j/semaine (paperasse du soir et dimanche) et 9 à 12 h/jour d'un travail personnel 'au four et au moulin'. AVec le sentiment d'être périodiquement arnaqué par le fisc.
Voici ce que je peux observer d'une belle personnalité qui 'en veut'.
Le même gars voit d'anciens copains qui glandent depuis l'âge de 22-25 ans, se plaignant d'un patron, de la société qui ne les comprend pas, du montant insuffisant de leurs allocations sociales, d'un sentiment d'exploitation par la société capitaliste... C'est à faire pleurer de les entendre gémir ainsi.
L'autre jeune lui, bosse comme un damné, fier de son travail dans le froid ou la chaleur incommodante, avec un GSM qui n'arrête pas de sonner et la paperasse qui s'amoncelle pendant qu'il trime dans son atelier...
Statistiquement il y a plus de flamands que de wallons qui aiment trimer.
C'est génétique ou culturel?
A choisir, vous prenez quelle voie, 'adeptes de la glandouille'?
Et vous votez quoi, pour qui, à chaque élection???
Rédigé par : Robin pas paresseux | 04 juillet 2007 à 11:22
Notre bien-aimé Alain,Sénateur de Communauté, va s'occuper de tous ces problèmes, nous pouvons lui faire confiance.
Rédigé par : Sauveur | 04 juillet 2007 à 08:26
Il y a plus d'un indépendant qui vit sous au sur le seuil de pauvreté monsieur. vous devriez observer ça de plus près. De plus il gagne leur vie en bossent de 8 a 12 heur par jours samedi voir dimanche compris. Ne sont jamais en ares maladie ci non leur entreprise périclite ci c'est être le "cul dans le beurre" ça? Moi non seulement je le pence pas mais en plus je dit que les chômeur en Belgique sont trop bien payer et vive trop bien de plus ils sont trop longtemps dépendent voir une vie entier sans s'abîmer. Moi j'appel ça la très belle vie sans conter qu'un certain nombre travail au noir et donc parte régulièrement en vacance et roule aussi en 4*4.
Il est temps que l’on fixe une limite dans le temps a la dépendance du chômage et qu’on paye moins les chômeur et donnons plus de sécurité et retraite au personne qui bosse indépendant aussi car ce sont eut et les patron qui payent tous les chômeur. Puis ci il triche avec le fisc c’est peut-être aussi pour survivre et donner de l’emplois dans notre pays qui sanctionne les gens qui bosse et favorise les gens qui bosse pas ce qui est une honte.
Rédigé par : martin | 03 juillet 2007 à 21:14
@ Serge
Ah, mais, indépendant, ça fraude automatiquement le fisc, ça ! Ca planque son argent au Luxembourg ! Ca se fait rembourser ses plantureux repas au resto ! Ca roule en 4 x 4 au frais de la princesse ! Ca égorge les petits nenfants, ça mange des trucs pas macro-biotiques, ça écoute de la musique barbare, ça vote "à droite de la droite" !
Combien d'indépendants vivent au seuil de la pauvreté dans ce pays ? Il faut être FOU pour se lancer. Mais bientôt, on va imposer les syndicats dans les PME. Tout va aller mieux, non ?
Rédigé par : L'Abbé Résina | 03 juillet 2007 à 17:49
et pendant ce temps, l'indépendant que je suis vient de devoir payer son précompte professionel et ses cotisations sociales...
et avec tristesse je me dis que j'aurais du faire profession "chômeur"...
Ma pension (enfin, si elle existe encore quand j'y arriverai) sera inférieure à celle que recevra un gars qui a chômé toute sa vie... alors que je n'ai jamais dépendu du système...
Y a de ces choses qui vous dégoutent de bosser, j'vous jure...
Rédigé par : Serge | 03 juillet 2007 à 17:40
@Alex,
Dans cette pléaïde de spécialistes, y-a-t-il un plombier pour réparer la douche ? Il paraît qu'elle était bouchée selon un info récente.
A moins qu'elle n'engage que des forgerons...
:-)
Rédigé par : Jean-Philippe | 03 juillet 2007 à 17:15
Ce qui va sauver la CF c'est le nouveau bidule de Marie Arena : le Conseil supérieur d'éducation aux médias pour décoder l'information. 50 "spécialistes" des médias, un président. Départ 2008. Pour que les lecteurs "se forgent leur propre regard"...
Rédigé par : Alexis de Tocqueville | 03 juillet 2007 à 13:41
Soit dit en passant: je ne vois pas nos habituels commentateurs contrariants parler d'emplois précaires, de jobs McDo ou autres petits boulots, face à ces chiffres.
Alors reprenons: pourquoi ne pas aller voir en Flandre ce qui explique leur succès? C'est trop loin? Ou c'est parce que c'est en Flandre?
Rédigé par : paul | 03 juillet 2007 à 08:56
Eh oui, ce qui manque en Wallonie, ce n'est pas le travail, c'est les travailleurs.
Rédigé par : Jean-Louis Leroy | 03 juillet 2007 à 03:53